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Conférence & Débat
Le dimanche 9 avril 2023, à 14h30
Dimanche 26 mars 2023 de 14h30 à 16h30
“Quelles leçons les religions ont-elles tirées de la pandémie ?”
En présence de Pasteur Peter Hanson, Philippe Martin (directeur de l’ISERL), Dr Ahmed Mahdi, M. Ohayon (rabbin de Villeurbanne), Mme Chantal Evans (aumônier catholique), Kamel Meziti (Docteur en Histoire contemporaine de l’Université Paris-Sorbonne).
Dimanche 2 avril 2023 de 14h30 à 16h30
“Existe-t-il des guerres justes ?”
En présence de Pasteur Olivier Risnes, Dr Ahmed Mahdi, M. Malka (rabbin de Tilsitt), M. Omar Merzoug, Père Christian Delorme (délégué épiscopal pour les relations interreligieuses).
Dimanche 9 avril 2023 de 14h30 à 16h30
“La crise écologique est-elle une crise spirituelle ?”
En présence de Pasteure Françoise Sternberger, Dr Mouslim Fidahoussen, M. Bruno Guiderdoni (vice-président de l’IFCM), M. Daniel Dahan (Grand rabbin de Lyon).
Dimanche 16 avril 2023 de 14h30 à 16h30
“Les religions face à la réflexion sur la fin de vie”
En présence de Sadek Beloucif, M. Etienne Tissot, Dr Mouslim Fidahoussen, M. Knafo (rabbin de Rillieux-la-Pape), Docteur Jean-Baptiste Fassier (médecin du travail).
L’ensemble des conférences sont accessibles en retransmission directe puis disponible en replay sur notre page Facebook.
Tout public
250 personnes
Le dimanche 9 avril, à 14h30
Amphithéâtre de l’IFCM
“La crise écologique est ainsi étroitement liée à notre vision du cosmos et à notre mode de relation avec la nature. Entretenant un lien fort avec la nature, création de Dieu, les différentes confessions chrétiennes se sont associées à ce mouvement pour la protéger.” expliquait Jean-Claude Larchet dans les Fondements spirituels de la crise écologique.
Alors que s’est achevée la 24ᵉ conférence climat de l’ONU (COP24) et qu’un accord entre les États peine à voir le jour, Jean-Claude Larchet, théologien orthodoxe, voit dans la crise écologique actuelle une crise spirituelle.“Jusqu’à la fin du Moyen Âge, il y avait, dans la société traditionnelle occidentale, un sens aigu de la sacralité de la nature. Parce qu’il y percevait la présence et l’action de Dieu, l’homme nourrissait à son égard du respect. À la Renaissance s’est développé l’humanisme et l’homme a perdu ce sentiment d’un lien entre Dieu et la nature. La nature n’a plus été considérée que comme un objet, utilisable par l’homme à ses propres fins, comme un ensemble de ressources à exploiter”.
Pasteure Françoise Sternberger, Eglise protestante Unie d’Oullins-Givors
Dr Mouslim Fidahoussen, ingénieur et islamologue réformiste
M. Bruno Guiderdoni, vice-président de l’IFCM
M. Daniel Dahan, Grand rabbin de Lyon